C'est à peu près 120 piasses la tonne. Grosso modo c'est 80 si tu remplis ton pick-up. Ça, c'est pour la scrap scrap. Pour une scrap qui a de l'allure, c'est plus ou moins 4 piasses la livre. Cop, aluminium. Vous pouvez ben courir les poteaux. Moi, la scrap scrap, ça me plaît.

30.1.14

GUS, OU L'ESSENTIEL

Coltrane.
 
Ça me fait penser à un certain Gus okay, mais ça me rappelle surtout un film de Groulx. Je préfère ça, remarque. L'un possède un poster tout de bleu sur son mur de chambre à coucher; l'autre est gravé à tout jamais dans un film marquant. Le chat dans le sac. Un morceau original de John Coltrane.  C'est pas rien. 



Me semble que ça nous ramène à l'essentiel.

7.1.14

NUAGES SUR LA VILLE


Naaaaon, je n'irai pas, pour ma seule journée de congé de la semaine, faire du ski de fond à moins trente dans le Palais des Glaces qu'est devenu le Québec en moins de quarante-huit heures.  Je préfère rester au chaud avec ma doudou quétaine en sherpa (voir ici-bas), et me mater un bon film déprimant à souhait.  C'est une qualité hein, à mon humble avis.  Un bon film déprimant.  C'est authentique, humain, ça joue comme du monde, la direction photo est soignée mais pas outrancière, ça a du sens, du senti, et la personne qui se trouve derrière veut dire quelque chose.  Et ce quelque chose-là demeure même après la fin du générique.  Je  ne devrais peut-être pas évoquer « déprimant », combiné à « à souhait», tsé, parce que ce n'est pas tout à fait ce que je cherche à dire.  Mais vous êtes intelligents et vous savez où je veux en venir.  Anyway.
 
Y'a un Robert Morin qui se dandine sur un ballon de gymnastique et un Jean-Pierre Lefebvre qui joue à la Wii.  Juste pour ça, c'est grandiose.  Mais c'est pas juste pour ça. 
 
C'est un maudit bon film. 




















Nuages sur la ville (Simon Galiero, 2009)