C'est à peu près 120 piasses la tonne. Grosso modo c'est 80 si tu remplis ton pick-up. Ça, c'est pour la scrap scrap. Pour une scrap qui a de l'allure, c'est plus ou moins 4 piasses la livre. Cop, aluminium. Vous pouvez ben courir les poteaux. Moi, la scrap scrap, ça me plaît.

28.12.14

2015














Je vous souhaite une rugissante 2015!

De la joie dans vos cœurs.

Et tout. Et davantage.





31.8.14

STEAK, VODKA ET COUTEAU DE POCHE


J'ai choisi B. 

Là où Google Street View laisse place aux huards et aux ours noirs.





























Une araignée a tissé sa toile dans le rétroviseur de ma voiture. 

Juste : respect.


9.7.14

PANACHES



J'ai hérité de deux panaches appartenant à mon grand-père maternel.  Des orignaux.  Dont un qui date de 1967.  Moi être contente, ouais.



Les corps calleux vont bon train, genre.  En attendant, je m'affaire au ponçage et au lustre de la matière brute ambiante.  Et vous, ça va?
 
Mon chat, lui, se régale à licher du plastique.  Chacun son truc.





Le lien, hein. :) Peux pas faire autrement.

Ouais.

C'est pas un journaliste qui va te dire euh, qui va te dire : c'est de la bonne musique ou pas. Tsé.  Il va écrire des affaires, il peut dire n'importe quoi...
-Noël Fortin.





8.6.14

29.5.14

BRUNANTE VERMILLON TIRANT SUR LE ROSE

À 4 heures 40 du matin.









27.4.14

11.4.14

LE GARS DES VUES



Salut Pierre. 

J'ai suivi ton exemple, j'ai arrêté de fumer.  Ouain.  Mais c'est un détail hein. (Soupir)  Hostie qu'on fait dur.  D'habitude je pense à toi à l'automne, dans le temps de la chasse, mais là j'ai eu une pensée pour toi en ce printemps bien pourri.  J'ai dit à la blague que c'était arrangé avec le gars des vues, crisse, ces élections-là.  Mais le gars des vues, vois-tu, ne s'est jamais pointé. 

Tu ne l'aurais pas vu, kek' part dans ton boutt'?   Parce que ça me turlupine sérieusement. 

C'est pas drôle, notre affaire.  Si tu le vois, dis-lui que j'ai deux mots à lui dire.



2.3.14

FAIRE SA NUIT



Y'en a qui grincent des dents, comme je disais chez Gom.

Eh bien moi.

J'écoute.






3.2.14

GONE, GONE, THE DAMAGE DONE

Philip Seymour Hoffman.   1967-2014. 
 
Ça m'a fait de quoi quand j'ai lu la nouvelle.  Dommage.  Et triste.  Je l'aimais bien, lui.  Il avait une de ces voix.
 



30.1.14

GUS, OU L'ESSENTIEL

Coltrane.
 
Ça me fait penser à un certain Gus okay, mais ça me rappelle surtout un film de Groulx. Je préfère ça, remarque. L'un possède un poster tout de bleu sur son mur de chambre à coucher; l'autre est gravé à tout jamais dans un film marquant. Le chat dans le sac. Un morceau original de John Coltrane.  C'est pas rien. 



Me semble que ça nous ramène à l'essentiel.

7.1.14

NUAGES SUR LA VILLE


Naaaaon, je n'irai pas, pour ma seule journée de congé de la semaine, faire du ski de fond à moins trente dans le Palais des Glaces qu'est devenu le Québec en moins de quarante-huit heures.  Je préfère rester au chaud avec ma doudou quétaine en sherpa (voir ici-bas), et me mater un bon film déprimant à souhait.  C'est une qualité hein, à mon humble avis.  Un bon film déprimant.  C'est authentique, humain, ça joue comme du monde, la direction photo est soignée mais pas outrancière, ça a du sens, du senti, et la personne qui se trouve derrière veut dire quelque chose.  Et ce quelque chose-là demeure même après la fin du générique.  Je  ne devrais peut-être pas évoquer « déprimant », combiné à « à souhait», tsé, parce que ce n'est pas tout à fait ce que je cherche à dire.  Mais vous êtes intelligents et vous savez où je veux en venir.  Anyway.
 
Y'a un Robert Morin qui se dandine sur un ballon de gymnastique et un Jean-Pierre Lefebvre qui joue à la Wii.  Juste pour ça, c'est grandiose.  Mais c'est pas juste pour ça. 
 
C'est un maudit bon film. 




















Nuages sur la ville (Simon Galiero, 2009)