Tout le monde s'excite parce qu'il fait huit à Montréal.
C'est de même à chaque année. Quand l'hiver achève.
C'est de même à l'automne aussi, quand les couleurs arrivent.
À la première neige, c'est pareil.
Pis c'est ben correct.
J'ai ouvert la porte patio pour entendre les oiseaux.
Le trafic.
Les balayeuses.
Et le reste.
Y'a deux néo-cowboys qui se faisaient filmer dans le parc pas loin. C'est comme eur-rien, le caméraman devait pogner la patinoire pis les tables à pique-nique en arrière-plan.
Me demande c'était au quoi au juste leur histoire.
Ça s'est mis à crier Naaaooooooooon! à un moment donné. Un drame, peut-être.
Anyway.
Un tite toune. De Fred Fortin.
Pendant que ma bolo mijote et que le vin dévote.
11 commentaires:
Fred Fortin, ça c,est un héros comme je les aime. Merci de partager son dollorama. J'aime bin son dernier album, comme j'ai pas de lune à plastrer, m'a allé me plastrer l'araignée au plafond... ouin, le monde s'excite à huit pis y vont chier des tacs quand la tempête des corneilles va laisser 25 cm de joie blanche. Hé, hé...
De rien Flash. Faudrait peut-être qu'il se mette à chanter du nez pis à jouer du piano. Pour pogner plussse.
Et après le coup des corneilles (qui ne viendra pas avant avril d'après moi ((tu sais ce qu'on dit : le trois fait le mois, le cinq le défait et le sept le refait)) en mars, ma foi, ce sera les terrasses), après le coup des corneilles, dis-je, les tacqueux vont garrocher leur 25 cm de joie blanche dans les rues. Ça fait partie du cycle ça aussi.
Bon dimanche.
poaime :
pas de faux-semblants
allons-y gaiement à tisser des coulleurs(vres)
bon, merde, kesse je voulais dire ?
tant pis, allez vous faire manger par les vers!
bise
Faudrait peut-être qu'il se mette à chanter du nez pis à jouer du piano. Pour pogner plussse.
Richard Desjardins ? :-)
*RIRES*
Tsst-tsst.
:)
pogner, c nul
et l'amour, c pire
viens
je t'aime
la pire
celle en qui on aurait confiance
me faites honte, en fait
honte à toi et à tes potes
bise
Y'en a un qui fait une version de Moési moé 'ssi à la radio commerciale. Une version nulle à chier, censurée, comme si l'on peut censurer une chanson juste parce que ça ne plaît pas aux oreilles du gorlo de dire «même si tu sens l'pipi»...
Chante-la pas, le zouf, au lieu de charcuter la toune...
***
C'est comme pour la version de Je t'aime moi non plus par Jean Faber et Monique Vermont. Le refrain «je t'aime... moi non plus!» devient «je t'aime... moi aussiiii!»
Trop nul.
***
J'aime mieux le Fortin des premiers albums. Évidemment, il n'est pas obligé de rester stâllé là-dessus.
Je n'ai pas entendu la version charcutée qui passe à la radio. J'ai l'impression que je manque pas grand-chose...
Ça me rappelle Tu m'aimes-tu reprise par le ti-clin. Misère.
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