Naaaaon,
je n'irai pas, pour ma seule journée de congé de la semaine, faire du
ski de fond à moins trente dans le Palais des Glaces qu'est devenu le Québec en
moins de quarante-huit heures. Je préfère rester au chaud avec ma doudou
quétaine en sherpa (voir ici-bas), et me mater un bon film déprimant à
souhait. C'est une qualité hein, à mon humble avis. Un bon film déprimant. C'est
authentique, humain, ça joue comme du monde, la direction photo est
soignée mais pas outrancière, ça a du sens, du senti, et la personne
qui se trouve derrière veut dire quelque chose. Et ce quelque
chose-là demeure même après la fin du générique. Je ne
devrais peut-être pas évoquer « déprimant », combiné
à « à souhait», tsé, parce que ce n'est pas tout à fait ce que je
cherche à dire. Mais vous êtes intelligents et vous savez où je veux en
venir. Anyway.
Y'a un Robert Morin qui se dandine sur un ballon de
gymnastique et un Jean-Pierre Lefebvre qui joue à la Wii. Juste pour ça,
c'est grandiose. Mais c'est pas juste pour ça.
C'est un maudit bon film.
6 commentaires:
Nuages sur la ville ou frimas sur la ville, ça reste dans le thème.
Une seule journée de congé ? C'est moche. Et l'écrivaine, elle. Moussetifaille.
Bonne année, genre une très bonne. Meilleure. Une splendide qui fait croire et croitre.
On a l'hiver pas mal thématique, cette année.
Une splendide pour toi aussi, Venise! Et à Marsi. Merci.
Moussetifaille, hein. (rires) Elle revient de loin, mais elle est restée tout près en même temps. Ça vient, ça vient.
Gros becs.
Belle Doudou! On l'espère chaude.
Elle l'est, elle l'est.
Une rugissante année 2014, Gomeux!
Meow!
Une ravissante pour vous!
:)
Enregistrer un commentaire