La vraie nature de Bernadette (Gilles Carle, 1972)
CARLE, Gilles, réalisateur, producteur, scénariste (Maniwaki, 1929). Après des études à l'École des beaux-arts de Montréal (1945), il semble d'abord se destiner aux arts visuels et à la littérature. Il est, d'ailleurs, l'un des fondateurs des éditions de l'Hexagone avec, entre autres, le poète Gaston Miron. Au tout début des années 60, sa carrière bifurque du côté du cinéma alors qu'il réalise, à l'ONF, une série de courts métrages documentaires. Mais c'est plutôt la fiction qui l'intéresse.
Coulombe, Michel et Marcel Jean, Le dictionnaire du cinéma québécois, Montréal, Boréal, 1991, pp.78-79.
Gilles Carle
1929-2009
9 commentaires:
Un de ces corps celestes qui brillera encore mille ans après s'être éteint.
Salut.
C'était un bon film, j'ai un bon souvenir de plusieurs de ses films mais de là à faire des funérailles nationales... de toute façon, il s'en balançait!
Accent Grave
Ouen, Falardeau et Carle dans le même automne, ça fesse. J'ai mal à mon Québec.
La saison des corps célestes. J'adore.
Des funérailles nationales, c'est dire. Penser à Gilles Carle fait penser à Chloé Ste-Marie (dont j'écoute le dernier disque en ce moment même), sa muse, son ange. C'est à son tour maintenant de jouer son rôle d'ange.
:/
Ouain.
Les Corps célestes Venise, ce n'est pas de moi : c'est de lui (1973).
Maudite saison hein.
Le prochain qui se rajoute, je le tue.
J'ai bien peur qu'il te
faudra tuer bientôt Sandy;
car un autre s'ajoutera,
inexorablement et ainsi
de suite jusqu'à nous.
Ah non, pas nous!
Enregistrer un commentaire