C'est à peu près 120 piasses la tonne. Grosso modo c'est 80 si tu remplis ton pick-up. Ça, c'est pour la scrap scrap. Pour une scrap qui a de l'allure, c'est plus ou moins 4 piasses la livre. Cop, aluminium. Vous pouvez ben courir les poteaux. Moi, la scrap scrap, ça me plaît.

25.5.10

CRIQUE




















Il y a un moment entre deux genres d'humanités où l'on en arrive à se débattre dans le vide.

Voyage au bout de la nuit, L.-F. Céline

22 commentaires:

Gomeux a dit…

Ferdine!
Oh joie!

Chu justement aprâ relire sa trilogie Allemande.
Miam.

On n'en parle pas nulle part de Ferdine, jamais.
Merci de le faire ici.

Venise a dit…

Tu lances cette superbe et sensuelle image en hiver et on attrape tous le virus du frisson. Aujourd'hui, ce sillon d'eau glacée s'accueille dans une parfaite volupté. On en mangerait de la neige !

C'est pour dire, hein ?

Mek a dit…

Oouh. Va falloir réchauffer la tite-madame pis vite.

gaétan a dit…

Simonak brrrr....

manouche a dit…

image superbe ,trafiquée j'espère...

puceau a dit…

ça s'appelle "avoir un creux"

http://www.youtube.com/watch?v=BEyyvrugwDY

rappel à l'ordre a dit…

http://www.youtube.com/watch?v=JL7odYRb9Ik

amoureux de l'actrice (rienafout' de la zik!) a dit…

http://www.youtube.com/watch?v=BvvEx7n0uH4

protect me (mcp) a dit…

http://www.youtube.com/watch?v=xWGAdzn5_KU&feature=related

poaime :

y'avait un cailloux
par-terre

je ne l'aimais pas mais
ça me rappelait mon enfance
quand je ramassais des cailloux

ils étaient lisses
et colorés

parfois
tu les sortais de l'eau
et alors
normal :
ils brillaient moins malgré le soleil

explications :

http://www.youtube.com/watch?v=kUr8wj3nG9c

geronumero a dit…

louis ferdinand celine était nul aussi parfois, la preuve :

http://www.youtube.com/watch?v=-WiwNekNJGA

- c'est pas céline, ça!!!
- boh ?
- c'est un autre vieux!!!!!!
- lequel ?
- un autre mort, chéplus!
- les beatles ?
- naaaaaaan!!!!!
- tsss!
- hihihihihihihi!!!
elle alla respirer de l'air par la fenêtre. en serrant fort la pierre de la fenêtre. l'encadrement.

elle vit un arabe avec une burka male sur la tête, dans le désert. le sable effaçait toutes ces petites merdes. par millions.

http://www.youtube.com/watch?v=-1fb46GHdEg

-même les indiens ? demanda la fée.
- kss! je sais, mais... répondit la pute du saigneur.
- écoute, merde, arrêtons de songer à ceci, queue diable, nan ?

et ils partèrent heureux, de plus en plus numériques grace au sexe

http://www.youtube.com/watch?v=Rp6-wG5LLqE

Blue a dit…

@Gomeux:

m'est arrivée d'en parler, d'autan que j'ai découvert tard le plaisir de le lire...
Suis tout comme toi, d'ailleurs, de le rencontrer aussi, ici.

Blue a dit…

Très belle note, Sandy!
Cette photo étourdissante associée au mots de céline, c'est puissant... et ça ne laisse pas de marbre!

don't reject me a dit…

le type explosait d'un grand rire GUTURAL dans le début de la nuit indescente, alors que je titubais, en bas, seul avec mes godasses, la peur, la mort, les graviers et le dieu des ivrognes comme seule compagne. ça venait d'un des étages des immeubles de la rue que je traversais. le son me parvenait. c'était à Auch, dans le gers, dans les années 2000, en france.
sur le moment, celà m'avait effrayé.
"comment peut-on rire ainsi sans être fou, ou jeté dans le grand vide-tout ?" avais-je pensé.
je m'étais accoudé aux bennes à ordures un moment, pour enquiller un peu de vodka. transi par ces cris venant de je ne savais ou. ces cris qui transcendaient une brutalité de l'esprit aussi glaçante qu'aurait pu le devenir une rencontre avec un être réellement vivant, à ce même moment donné de mon existence.
et entre les cris, il y avait ces rires de femmes. des gloussements ressemblant à des conversations dont je ne captais pas le sens. j'aurais pu me livrer à la paranoïa, extirper des reproches encore, de ces sons, en les assemblant et en me laissant aller à l'interprétation. mais j'avais envie de paix.
j'ai marché quelques centaines de mètres encore, et suis allé me coucher sous les plantes décoratrices en devanture du macdo fermé... astheure...

plus tard, il a plu.
pas loin, y'avait l'hopital.
poussée une porte, encore. pas un concierge à l'horizon.
au sec.
mon sac noir me servait d'oreiller.
paix fragile.

j'ai trouvé le sommeil.

le lendemain, j'ai pris un taxi.

http://www.youtube.com/watch?v=wGOw8qswmD0

retour à l'anormal(e).

and every moment has a different sound a dit…

Peggy Gordon, You are my darling
Come sit you down upon my knee
And tell to me the very reason
Why I am slighted so by thee

I'm so in love that I can't deny it
My heart lies smothered in my breast
But it's not for you to let the world know it
A troubled mind can know no rest

I put my head to a glass of brandy
It was my fancy, I do declare
For when I'm drinking, I'm always thinking
And wishing Peggy Gordon was here

I wish I was in some lonesome valley
Where womankind cannot be found
Where little birds sing upon the branches
And every moment has a different sound

O Peggy Gordon, You are my darling
Come sit you down upon my knee
And tell to me the very reason

waiting for peggy a dit…

le mort n'aime pas. la haine existe. l'oubli n'existe pas. l'amour est le spectacle, et le lien pleurnichard bénéfique. la femme qui passe dans la nuit se venge au grand jour de son ombre. les amateurs de morale manipulent les ondes. les amoureux pleuvent comme les larmes de lave-robot. I volcano. incandescence programmée. les fleurs poussent comme des ondes masticantes. le ciel indifférent est maître. il explose en permanence dans le feu de notre ignorance toujours renouvelée par de nouveaux horizons de sens insensés. fruits de l'appétit. l'animal connait plus de choses que le conscient. sans peur et jeté. à la vie carnassière. les zombies servent de remèdes aux intelligences supérieures, comme la brique dans le mur absurde du menuisier qui doute, renouvelle, goutte à goutte, la charpente qui s'étiole (turn down the wall). le sujet se dilue sous le regard des inventeurs du normal. il n'y a que la morale des épargnés qui gronde, dans le regret des fous qui s'immolent.
le mur mort des murmures dirige le monde de la foi instituée en ordre. les prophètes réinventent le verbe oublié et la force élévatrice qui soumet les incapables et les faibles à les suivre.
les cadavres innondent nos veines. il n'y a que du mystère, de la peur, renonciation, aucun charme, la peau douce d'une gueunon de 23 ans, belle comme un ruisseau de mort et d'amour, aussi naïve qu'une première existence. le désir des lèvres n'est qu'un dentifrice sur la plaie de la clope. ton sexe irradie le néant. le meurtre est le refuge des faibles, la lumière est dans l'oubli. la mort n'existe pas. la torture se fait attendre. mais ils ont tout le temps. il faudra apprendre à prendre notre mal en patience. se tuer dans la lumière. apprendre l'ennui, le faire surgir de la souffrance intérieure. dépasser le goutte à goutte perturbateur dans une absorbtion de la naissance de l'onde néfaste et castratrice. il faudra être la mort. afin que la haine détruise son propre feu sale.
un immeuble s'écroule, qui n'est rien. les dieux se meurent. leurs enfants sont exclus du grand continent inexistant.

l'annihilation de l'autre est le reflet de ma solitude extrème.

coupées les veines du "semblant", l'absolu est le résidu du futur de la conscience directrice factice.
dans les bras de vulvinia, le dernier feu valable.
dernières braises vouées aux cendres.

le vent des comètes s'écrasant sur cette ultime lune sera le souffle offert à nos regard bannis. chassés de la vie.
par vous.

http://v.youku.com/v_show/id_XMTUyMDk1MzA0.html

amour

je vais souffrir

seul

encule toi toi même si t'as le couilles a dit…

I want to break free
I want to break free
I want to break free from your lies
You're so self-satisfied I don't need you
I got to to break free
God knows, God knows I want to break free

I've fallen in love
I've fallen in love for the first time
And this time I know it's for real
I've fallen in love, yeah
God knows, God knows I've fallen in love

It's strange but it's true (hey yea)
I can't get over the way you love me like you do
But I have to be sure
When I walk out that door
Oh go and eat your mummeee, (oh yea)
Oh how I want to be free
Oh how I want to break free

(INSTRUMENTAL INTERLUDE)

But life still goes on
I can't get used to living without, living without, living without you
by my side
I don't want to live alone, hey
God knows got to make it on my own
So baby can't you see
I've got to break free

I've got to break free
I want to break free, yeah

http://www.youtube.com/watch?v=EVYgRPfC9nQ

merchi

I want I want I want I want to break free …

monsieur meuble a dit…

le truc pour illustrer une histoire de couple qui avance pas :

http://www.youtube.com/watch?v=ThAWuoCV-C8

en fait... chacun tue l'autre...

c'est pour ça que c'est dur à accepter des fois, la réalité...

merde a dit…

pour survivre :

http://www.youtube.com/watch?v=33Jaodra7AY

jp a dit…

http://www.youtube.com/watch?v=MqodCNWqS8c

bise

emportez tout...

marie aurait aimé tu croa ? a dit…

http://www.youtube.com/watch?v=aEj-mrwwaxo&feature=related

message marie a dit…

http://www.youtube.com/watch?v=x6KkJ6-Ecxw&feature=related

baise toi, la pucerone, théme a dit…

http://www.youtube.com/watch?v=Md7iv0Rg1LU&feature=related