On (qui exclut la personne qui parle bien entendu et qui, dans le présent cas, inclut Christian Mistral - via The blog of the blogs) m’a tendu une bien ravissante perche ce matin*. Ça fait qu'après une heure de sténo hystérique, de rewind et de caféine, je vous livre cet extrait en guise d'office des matines. Quel sapré bougre, ce Jack Kerouac. Et ma foi, fort plaisant à zyeuter.
Fernand Séguin : Le premier qui a assuré votre succès, là… On The Road. Vous êtes devenu le fondateur de la Beat Generation. Qu’est-ce que c’était, la Beat Generation pour vous ? Parce que tout à l’heure, euh… on disait de vous…
Jack Kerouac : Ben y’avait la Lost Generation de 1920… pis c’était 1940-1950… pis on disait qu’est-ce qu’on va appeler ça, qu’est-ce qu’on va appeler ça ?
FS : C’est vous qui l’avez inventé, ce terme-là… Beat Generation ?
JK : J’attendu… ouais… J’attendu des vieux vieux bonhommes dire ça dans le su’, des vieux nèg’, « Beat ».
FS : Dans le sens de… écrasés ? Vaincus ?
JK : Oui. Pauvres. Après ça, j’ai été dans la petite église de Sainte-Jeanne-D’Arc. Pis tout d’un coup, j’ai dit Ha-Ha ! Beat… Béate.
FS : Béatitude ?
JK : Ouuuh.
FS : Ça a changé de sens alors dans votre esprit…
JK : Beato en italien. Beato. Béatifique en français.
FS : Mais est-ce qu’y avait pas aussi le sens de Beat (Il claque des doigts) de l’orchestre Jazz ?
JK : Ouais… pis le sens de tça (Il rame) pis de tça (Il rame toujours). Comment qu’on fait ça ? Les canous ?
FS : Les canots.
JK : Pis le drum. Poum tchouk poum. Pis euh… toute… C’pas important. Le nom est pas important.
FS : Mais, euh…
JK : Les enfants sont importants.
FS : Mais vous dites que le nom est pas important, mais vous refusez d’être appelé un Beatnik. Vous n’êtes pas un Beatnik ?
JK : Le Beatnik, c’est un terme euh… ouh… ouh… J’avais un beau mot pour celui-là. (Rire général) Dénigrateur ? Denegrading ?
FS : Péjoratif ?
JK : Péjoratif !
FS : C’t’un beau mot !
JK : Inventé après spoutnik. Tsé, pour faire avoir d’l’air les ti-idéalistes de l’Amérique qu’y font de l’indépendance… d’avoir d’l’air comme des Russian spies. Nik. Beatnik. Spoutnik. Peacenik.
FS : En somme, ce que vous voulez dire, c’est que… à partir du mouvement de la Beat Generation, qui était un mouvement littéraire et même un mouvement poétique…
JK : Politique ?
FS : Poétique.
JK : Poetic ?
FS : Oui.
JK : Ben littéraire, c’est poétique !
FS : Mais je veux dire de la prose et puis des vers, aussi. Des choses qui…
JK : Ah oui, ah oui. Des verses. On dit pas « verses » ?
FS : Vers.
JK : Ah yeah ?
FS : À partir de…
JK : Pourquoi d’abord qu’on dit pas « verses » ? Humf. (Rire général)
FS : Pourquoi pas ? Y’avait de la prose pis y’avait du verse.
JK : Oh boy !
FS : À partir de ce mouvement central, qui lui était littéraire disons, y’a des parasites qui sont arrivés. Des gens qui ont voulu faire semblant de faire partie de ce mouvement-là. Et qui eux étaient des…
JK : Des bohemians. Des bohemians y’ont arrivé avec leur barbe pis leurs sandales, placés tout alentour, toute la nuitte, pis y m’watchaient. Pis ci, pis ça, pis.... Y faisaient pas rien. Pis y travaillaient pas, pis... On a toute travaillé, les écrivains ! Toutes sortes de jobs… J’étais un journaliste une fois. J’t’encore journaliste… Pis euh… Ça a donné un… c’est plus important que ça. J’tais fâché à propos de ça, y’a dix ans. Quand les bohemians y’ont rentré. Mais après ça, les jeunes y’ont commencé à renter. Astheure, ils s’appellent Now Generation… Action Generation ou ben… sans nom. Love Generation. LSD Generation. Mais, c’est des enfants aujourd’hui, les nouveaux. 18, 19, là. J’sais pas qu’est-ce qu’y vont faire mais… moé, j’suis assez vieux pour être leur père, là.
FS : Oui, ça c’est …
JK : 45 !
FS : C’est le diable qui se fait ermite, là.
Fernand Séguin : Le premier qui a assuré votre succès, là… On The Road. Vous êtes devenu le fondateur de la Beat Generation. Qu’est-ce que c’était, la Beat Generation pour vous ? Parce que tout à l’heure, euh… on disait de vous…
Jack Kerouac : Ben y’avait la Lost Generation de 1920… pis c’était 1940-1950… pis on disait qu’est-ce qu’on va appeler ça, qu’est-ce qu’on va appeler ça ?
FS : C’est vous qui l’avez inventé, ce terme-là… Beat Generation ?
JK : J’attendu… ouais… J’attendu des vieux vieux bonhommes dire ça dans le su’, des vieux nèg’, « Beat ».
FS : Dans le sens de… écrasés ? Vaincus ?
JK : Oui. Pauvres. Après ça, j’ai été dans la petite église de Sainte-Jeanne-D’Arc. Pis tout d’un coup, j’ai dit Ha-Ha ! Beat… Béate.
FS : Béatitude ?
JK : Ouuuh.
FS : Ça a changé de sens alors dans votre esprit…
JK : Beato en italien. Beato. Béatifique en français.
FS : Mais est-ce qu’y avait pas aussi le sens de Beat (Il claque des doigts) de l’orchestre Jazz ?
JK : Ouais… pis le sens de tça (Il rame) pis de tça (Il rame toujours). Comment qu’on fait ça ? Les canous ?
FS : Les canots.
JK : Pis le drum. Poum tchouk poum. Pis euh… toute… C’pas important. Le nom est pas important.
FS : Mais, euh…
JK : Les enfants sont importants.
FS : Mais vous dites que le nom est pas important, mais vous refusez d’être appelé un Beatnik. Vous n’êtes pas un Beatnik ?
JK : Le Beatnik, c’est un terme euh… ouh… ouh… J’avais un beau mot pour celui-là. (Rire général) Dénigrateur ? Denegrading ?
FS : Péjoratif ?
JK : Péjoratif !
FS : C’t’un beau mot !
JK : Inventé après spoutnik. Tsé, pour faire avoir d’l’air les ti-idéalistes de l’Amérique qu’y font de l’indépendance… d’avoir d’l’air comme des Russian spies. Nik. Beatnik. Spoutnik. Peacenik.
FS : En somme, ce que vous voulez dire, c’est que… à partir du mouvement de la Beat Generation, qui était un mouvement littéraire et même un mouvement poétique…
JK : Politique ?
FS : Poétique.
JK : Poetic ?
FS : Oui.
JK : Ben littéraire, c’est poétique !
FS : Mais je veux dire de la prose et puis des vers, aussi. Des choses qui…
JK : Ah oui, ah oui. Des verses. On dit pas « verses » ?
FS : Vers.
JK : Ah yeah ?
FS : À partir de…
JK : Pourquoi d’abord qu’on dit pas « verses » ? Humf. (Rire général)
FS : Pourquoi pas ? Y’avait de la prose pis y’avait du verse.
JK : Oh boy !
FS : À partir de ce mouvement central, qui lui était littéraire disons, y’a des parasites qui sont arrivés. Des gens qui ont voulu faire semblant de faire partie de ce mouvement-là. Et qui eux étaient des…
JK : Des bohemians. Des bohemians y’ont arrivé avec leur barbe pis leurs sandales, placés tout alentour, toute la nuitte, pis y m’watchaient. Pis ci, pis ça, pis.... Y faisaient pas rien. Pis y travaillaient pas, pis... On a toute travaillé, les écrivains ! Toutes sortes de jobs… J’étais un journaliste une fois. J’t’encore journaliste… Pis euh… Ça a donné un… c’est plus important que ça. J’tais fâché à propos de ça, y’a dix ans. Quand les bohemians y’ont rentré. Mais après ça, les jeunes y’ont commencé à renter. Astheure, ils s’appellent Now Generation… Action Generation ou ben… sans nom. Love Generation. LSD Generation. Mais, c’est des enfants aujourd’hui, les nouveaux. 18, 19, là. J’sais pas qu’est-ce qu’y vont faire mais… moé, j’suis assez vieux pour être leur père, là.
FS : Oui, ça c’est …
JK : 45 !
FS : C’est le diable qui se fait ermite, là.
JK : Hein, le quoi ? (Rire général)
FS : The devil that turns hermit.
JK : Qu’est-ce que ça veut dire, ça ?
FS : Maintenant que vous…
JK : Le diable devient ermite… Y’a jamais été ermite, c’t’orgiastre-là. Hé Hé.
FS : Maintenant que vous avez 45 ans, là, vous regardez les jeunes pis vous dites ben euh, j’pourrais être leur père.
JK : Les nouveaux jeunes… sont fins. Pis y cherchent de quoi.
FS : Si vous aviez 20 ans aujourd’hui, est-ce que vous referiez la même chose que vous avez faite ?
JK : Ben, je l’ai déjà faite, j’suis tanné. (Rire général)
FS : Dernière question, en 30 secondes. Qu’est-ce que Jack Kerouac pense de Jean Kerouac ?
JK : Euh… Qu’est-ce que ça veut dire ça ?
FS : What do you think of yourself ?
JK : Oh ! Qu’est-ce moé je pense de moi-même ?
FS : Oui !
JK : Je suis tanné de moi-même. Ben, j’sais que je suis un bon écrivain. Un grand écrivain. J’suis pas un homme de courage. Pis euh… Mais y’a une chose que je sais faire, c’est écrire des histoires, c’est toute.
Fernand Séguin rencontre Jack Kerouac, le 7 mars 1967.
*En espérant le tout conforme à votre entière satisfaction. C'est vrai qu'un "on", ça fait pas mal anonyme.
35 commentaires:
Sténo peut-être, hystérique je veux bien, mais la source, la source, surtout quand c'est moi, c'est pas cool de la taire.
Allons, monsieur M., il ne faudrait pas voir dans ma modeste discrétion un signe de mauvaise foi. Je rétablis la situation à l’instant, et avec plaisir.
Oué, c'est pas pire. Mais je suis plus joli que Jack. S'il faut que j'aille le déterrer pour te le prouver...
Ça m'a pris une couple de minutes certain, rétablir cette situation. C'est-tu trop, pas assez. Un lien, pas de lien. Tsé, je suis néophyte dans la chose. (L'excuse du mois). Ha!
M'as te le déterrer, Sandy. I know where the bones lie.
Diantre non! Ne déterrez point ces morts que je ne saurais zyeuter. RIP, Jack. RIP.
Il est mort d'une "hémorragie digestive par rupture de varices œsophagiennes dues à sa cirrhose alcoolique"... ahhh God.
J'sais pas si on l'a incinéré.
Mais si ce n'est pas le cas, moi je ne veux pas voir ça.
:/
Allons, allons! Live fast, die young, make a nice corpse.
Je te parie qu'il est plus en forme que moi. En forme de quoi, je ne saurais trop dire, but you get the idea.
Geeeez yeah, I get the idea pretty well. 47 ans, c'est jeune en chien.
Un de ces quatre, j'irai au Vesuvio à San Francisco, question de me descendre un petit Jack en l'honneur de Kerouac.
Si t'en descends un second de ma part, je t'aimerai plus encare, si c'est possible.
Merci, Sandy, de t'être donnée tout ce mal pour raviver la vérité de Jack. À travers toutes mes fantaisies de carcajou, j'ai failli oublier l'essentiel.
C’est moi. C’est moi. Faut croire qu’il n’est jamais trop tôt pour un peu de Jack, même à 6 heures du matin.
J’en ai vu, des Gulo Gulo, au zoo de St-Félicien cet été. Le gars disait que leur méchanceté n’est que mythes et légendes. Quand même incroyable. Je ne serais pas game, moi, de les taquiner avec des minouches.
Santé! Et bon dimanche.
Glou glou.
Damn right. À même le goulot.
Ok je me tais avant qu'on me dise Gordon shut up. Ha!
Goulot goulot, open wide, wipe your lips, and never, ever shut up, Sandy Gordon.
Je lève ma canne de Seven-Up Diète à la mémoire de Jack. L'eau-de-vie, ce n'est pas fait pour un Peau-Rouge. À moins de tendre le calumet de l'épais... Ça je pourrais toujours.
Goulot, glou, Gulo gulo, whatever. Y'a pas de mal à s'hydrater de temps en temps l'orifice. L'office des matines s'est terminée en hydratation éthylique, damn, Bouchard, tu sais pas c'que tu manques. L'eau-de-vie, saint simonac, ça dit ce que ça dit. Avec le calumet de l'épais, tu t'étoufferais anyway. Dis pas de conneries. Moi, vais continuer à en rabâter, des conneries, c'est d'même pis c'est toute. Fuck que je hais les dimanches, mais avec Jack pis Jack pis tout le reste, m'semble que ça passe mieux.
Tu te fais parler dans les plumes, Butch! Seven-Up Diète indeed...
Non mais le Seven-Up diète, j'aime ben ça aussi... Y peut ben boire ce qu'y veut le grand Bouchard. :)
J'faisais pas un speech de la ligue de tempérance. J'faisais juste cheers, parce que c'est l'fun de faire cheers.
À chacun ses psychotropes. Et la vie est belle.
Hugh!
:)
J'ai vu cette émission à la Cinémathèque (maintenant, je pense qu'on peut la voir sur YouTube).
L'idée de faire venir Kerouac sur la plateau du Sel de la semaine (1967) avait été tout à fait géniale.
Suis par contre déçu de la manière dont Séguin a mené l'entrevue. Mais un universitaire (Ph. D.) sait-il comment être en phase avec un street wise man comme JK???
Et que dire de la réception mononcle de l'audience. Atroce. "Y est drôle, lui, avec son accent..." c'est ce qu'on aurait pu entendre dans les estrades.
Un rendez-vous manqué qui me brise le coeur.
Quelle patience d'avoir retranscrit tout cela!
« J'avais une soeur, Caroline, pis un frère, Gérard. Sont toué deux morts. » (Rire général)
Ça, moi, ça me fait pas rire c’est ben certain. Enfin. Pas dans un contexte comme celui-là. Rendez-vous manqué ? Ouais, on aurait pu faire mieux. Changer l’animateur, trier le public. La bêtise humaine est chose courante, on le sait, et particulièrement à la tévé. « Sel de la semaine »… on s’entend-tu que c’est évocateur ? Et hop, le studio qui se transforme en singerie. Pour quelqu’un qui prétendait ne pas être courageux, c’est plutôt balaise de se pointer à une émission de tévé – en direct en plus. Desproges disait « Quand on est plus de quatre on est une bande de cons » et je suis assez d’accord avec lui.
Je ne suis pas une experte de Kerouac, mais j’crois pas qu’un type comme lui, au tempérament indépendant, va nécessairement se saper le moral pour une poignée de rires impertinents lors d’une entrevue quelconque. Des cons, y’en a partout. Je me trompe peut-être quand je pense que les malaises de Kerouac se situaient au-delà de ça. C’est peut-être la somme de tous ces ça qui l’a incité à se pinter à s’en péter l’estomac avant la cinquantaine.
Il n’en demeure pas moins que cette entrevue se retrouve aujourd’hui dans les archives de Radio-Canada, celles de la Cinémathèque Québécoise, sur YouTube et ailleurs ; et par extension, elle se retrouve dans nos salons, sur nos écrans, sur nos lèvres virtuelles. On peut la trouver désolante - car elle l’est dans son ensemble – mais on se réjouit aussi d’y avoir accès. J’en prends pis j’en laisse, quoi. J’écrème mentalement et je conserve les yeux du gars, ses froncements de sourcils, et plusieurs de ses paroles. Mais anyway, c’est pour d’autres raisons que Kerouac sera toujours en vie.
Merci d’être passé par chez nous, Inukshuk. Au plaisir !
S'il y a un auteur pour qui j'éprouve bcp de regrets, c'est bien JK. Être si près du "nirvana" et en être si loin tout à la fois. Avoir raté la coche à deux pouces du fil d'arrivée, cela me tue.
Tu dis que c'était un être indépendant mais j'aurais une réserve. Oui, il était indépendant sur le plan créatif, c'est absolument vrai, mais sur le plan émotif c'est la catastrophe absolue. Complètement à la dérive.
J'ai toujours pensé que JK était encore accroché à sa mère. Savais-tu qu'il l'avait amené avec lui jusqu'à San Francisco? C'est comme si un homme invitait sa mère sur les lieux du Vesuvio...
Et si tu voyais la compagne qu'il avait choisie en fin de vie, tu ne pourrais faire autrement que d'y voir un copie conforme de la mouman de ses fantasmes chroniques.
Maudit qu'il me déchire le coeur, ce type!
Pour en revenir à l'émission, je suis tout à fait d'accord avec toi. On en prend et on en laisse. Et puis, pour l'époque, Séguin c'était le moins pire de la communauté (tenant compte de son histoire personnel).
T'as un beau blogue, Sandra. Du beau travail. Pas étonnant que Mistral t'ai mis sur sa liste de liens.
Bravo!
Je te remercie pour tes remarques. La désolation de JK n’est pas sans évoquer aussi ce qu’il y a de beau et de vivant et c’est ça qui me plaît. En fin de parcours, y’a peut-être fuck all ; mais d’ici là, y’a parfois des trucs vraiment bien qui se passent. Le vagabond américain Whitmanien, le coureur des bois de l’imaginaire québécois, c’est le genre de trucs qui me fascine. Quand c’est trash, aussi, et que ça sent la merde. Bref, quand ça sonne vrai ça finit par être beau. Je ne suis pas une misanthrope finie :)
C’est gentil de me dire que tu apprécies mon blog. Y'a six mois je n'en avais pas. Je me suis dit Kin, pourquoi pas. Je m'y amuse. Et j’espère qu’il sonne vrai.
Moi aussi les wobos et les coureurs des bois me fascinent.
J'ai déjà rencontré un véritable Inuit (à Churchill au bord de la baie d'Hudson) et il m'avait dit qu'il aimait bien descendre au sud (là où nous étions).
Je t'ai mis moé tou dans ma liste (comme Mistral, évidemment).
Y a du stock icitte!
@+
La fascination du sauvage, motivée par les bons sentiments.
En tout cas, Inukshuk, on dirait bien que tu es un aficionado de Mistral.
Ouin ben y'é quelle heure, là? Faut que je rattrape l'apéro.
C'est pas Inuk, au singulier?
Sandy, t'as ta dernière dent contre moi ou quoi?
Ma foi, I, L'Office québécois de la langue française te donne raison; en France, on estime que les deux coexistent.
Ah la vilaine! Je n'ouvrirai pas mon jeu en quelques posts.
Quoi qu'il en soit, si Mistral est dans ma liste, toi aussi, comme quelque 7 ou 8 autres blogueurs...
Dernière dent ? Nah, il m’en reste plusieurs. Mais elles ne te sont pas destinées, voyons. Contente de voir un peu d’action sur le vacuum. Ça me manquait.
Inukshuk : Y’a pas de mal à apprécier autres choses que des écrivains morts, bon sang ! Envoye, mets tes cartes su'a table.
Ça viendra bien assez vite.
Je cite des auteurs tranquillement à travers les différents posts (renvoyous) que je ponds ou régurgite selon mon humeur... ;)
Joual-vert, je savais pas pour Inuk/suk!
Bah! T'as une tête de pierre...
Il faut être fait fort pour naviguer sur le net..., faute de quoi je n'y serais plus depuis longtemps... ;)
The Rocker Surfer...
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