C'est à peu près 120 piasses la tonne. Grosso modo c'est 80 si tu remplis ton pick-up. Ça, c'est pour la scrap scrap. Pour une scrap qui a de l'allure, c'est plus ou moins 4 piasses la livre. Cop, aluminium. Vous pouvez ben courir les poteaux. Moi, la scrap scrap, ça me plaît.
Il y a quelque chose de divertissant à observer une Zamboni faire son oeuvre sur une patinoire. C'est à ça je pensais aujourd'hui.
Ça c'est comme apprécier les ustensiles pesants ou le son que produisent des pneus à clous, l'hiver. Ou le concerto d'une main qui fouille dans un étui à crayons. Ou des doigts fébriles qui affrontent un emballage à bulles. Weird, mais apaisant.
Mais là je me sens comme quand je passais devant les pochettes des Face à la mort au club vidéo de mon quartier.
Plus d'humanité au bout de tout ça
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Il m'arrive de voir le monde comme si j'étais assis tout seul sur une
chaise au beau milieu d'un désert de glace. Mes yeux fixent le vide. Et ce
vide me ...
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Adieu Christian, mes sympathies à tes proches et à la Tribu. Je t'ai lâché,
je sais, après t'avoir beaucoup pris. Notre amitié n'était plus vive.
Pourtan...
Récolte
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J’ai pensé vous parler des six romans lus dernièrement ... oups, *sept*,
avec Roman familial de Maxime Olivier Moutier qui s’est faufilé sous la
pile. Il ...
10
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Comme les doigts, les orteils.
10.
Dix !
Rosie disparue, Modestine en fugue ou se décomposant dans un fossé, la
Gaxuxa bien vivante, moi… aussi.
Que...
Plogue
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Salutations,
la présente est pour informer le lecteur ou le robot de google qui abouti
ici pour passer le balais que Guillaume Pâquet participe activement ...
Ploutocrasse
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C'était dans la version électronique.ca de Radio-Canada ICI.
Parfois, je ne peux pas m'empêcher de lire les commentaires.
Oui, je suis masochiste. Et là, ce...
Octobre, sans crise.
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La plupart des gens capotent avec l’automne : le déprimant octobre suivi du
mourant novembre. La grisaille et la froideur s’imposent. Pour ma part, je
...
"Nous pleurnichons sur la liberté absente et nous n’avons même pas essayé la liberté. […] Ici, je commets un canadianisme : tout d’un coup qu’on serait libres ?"
Jean-Paul Desbiens, Les insolences du Frère Untel, Montréal, Les Éditions de l’Homme, 1960, p.83-84.
On ne peut rester éternellement en suspension entre le quai et le lac.
"Ah, à quoi ça sert de rigoler, la vie est trop triste pour passer son temps à rigoler, dit le ténor en regardant la rue les yeux baissés. Mierde! dit-il. Je n'ai pas d'argent et je m'en fous ce soir."
KEROUAC, Jack. Sur la route.
L'eau du lac n'est pas chaude chaude, mais un coup saucé, on est ben.
"Même une cour à scrap ça peut être beau vue d'en haut... On dirait un tableau de Borduas."